La sodomie consiste en la pénétration de l’anus de la partenaire ou du partenaire sexuel. La sodomie est une position sexuelle qui intrigue, fascine, mais qui ne laisse pas indifférent.
Le moins que l’on puisse dire c’est que le sexe anal a toujours été l’objet de débat passionné : prônée pour l’éducation sexuelle (Grèce Antique), prohibée par les religions, la sodomie, qui était encore hier une pratique sexuelle marginale, a de plus en plus le vent en poupe.
L’on estime aujourd’hui que la sodomie serait une pratique régulière pour 20% des français (hommes et femmes) de 20 à 50 ans.
Cependant, il existe encore un certain tabou entourant l’idée de pratiquer la sodomie. Sodomiser son partenaire ou être sodomisé(e) nécessite tout un processus, à la fois psychologique et physique pour que cet acte sexuel soit bénéfique aux deux partenaires. Les problématiques sont nombreuses que ce soit pour celui qui reçoit la sodomie ou celui qui la donne. La taille du pénis a ici beaucoup d’importance.
Nous les avons regroupés en plusieurs catégories pour que vous puissiez, selon vos doutes et vos interrogations autour du sexe anal, trouvez des éléments d’informations.
La sodomie chez les femmes débutantes est une position sexuelle qui est d’emblée synonyme de douleur.
Les arguments ne manqueront pas pour vous dissuader : taille de l’orifice trop étroit, risque de fissures anales, certitude de l’absence de plaisir…
Découvrez nos conseils pour mettre les meilleurs chances de votre coté pour convaincre votre partenaire de pratiquer le sexe anal.
Le dialogue et l’échange et l’écoute sont impératifs pour préparer la sodomie. Car la pénétration anale est aussi question de psychologie, comme la relation sexuelle dans son ensemble.
Sodomiser sa partenaire sans établir de dialogue au préalable ou sans suivre une série de recommandations pour la préparer au sexe anal, c’est prendre le risque que cela se passe mal et que le souvenir de la douleur ne soit trop ancrée chez elle pour ensuite pouvoir tenter de re-pratiquer la sodomie dans le futur.
De plus, le dialogue au sujet de la sodomie est essentiel car cette pratique souffre de certains préjugés ancrés dans l’inconscient collectif féminin.
Synonyme de douleur, générateur de peur ou même tabou pour certaines, le dialogue et l’échange sur le sexe anal est définitivement le meilleur moyen de préparer votre partenaire à franchir le pas.
Si vous sentez que votre partenaire est relativement génée par le sujet de la sodomie, n’hésitez pas à dédramatiser la chose, en utilisant l’humour. Le but est surtout de ne pas la brusquer ou de lui infliger une quelconque pression quant à votre envie de la sodomiser.
Votre complicité sera également un outil important dans votre but de convaincre.
De plus, votre partenaire peut être intéressée par le sexe anal mais avoir quelques craintes sur la douleur, ou ressentir une certaine honte, vis à vis de votre regard sur elle. Là encore, faites preuve d’écoute et tenter de la rassurer, en lui expliquant que vous serez à son écoute et que si quelquechose lui dérange pendant l’acte que vous n’insiterez pas.
Mettez en exergue la dimension expérimentale de la chose, sans mettre trop d’importance dans la réalisation de l’acte en lui même, que vous y accordiez ou non de l’importance….
Si votre conjoint se montre trop insistant à ce sujet, ne vous laissez pas déborder par son envie pressante. Expliquez-lui simplement que la pratique de la sodomie sans envie est vouée à l’échec et que l’échec ne serait alors que source de frustration pour lui et de douleur pour vous.
N’hésitez pas s’il le faut à exagérer les risques et l’enjeu, en lui disant par exemple que, sans envie, vous arrêterez à la moindre douleur (qui ne manquera pas d’arriver dans de telles conditions) et qu’il n’y aura plus de nouvelles tentatives de sexe anal à l’avenir.
N’oubliez pas que vous avez le pouvoir de décision final et que même si vous acceptez le principe d’essayer la sodomie, rien ne vous oblige à vous rétracter par la suite, que ce soit avant ou même pendant la tentative de pénétration anale.
N’hésitez pas également à tenter de rompre les préjugés que votre partenaire peut avoir sur la pratique de la pénétration anale. L’anus est une zone érogène à part entière, autant dans sa zone interne qu’externe.
La paroi interne de l’anus regorge de terminaison nerveuses ultra sensibles aux variations dont il peut être le sujet durant la stimulation et la pénétration anale en elle-même. Il est donc possible de donner un orgasme anal à sa partenaire, puisque cette zone comporte tous les éléments pour.
Les femmes qui apprécient la sodomie aimeront le pratiquer avec un partenaire dont le partenaire à un pénis de taille importante.
De plus, vous pouvez argumenter sur le fait que la pratique de la sodomie constitue un tout nouveau continent à découvrir en terme de plaisir, que ce soit pour vous ou votre partenaire. Sodomiser votre partenaire peut constituer un moyen de pimenter votre vie sexuelle et de renforcer votre symbiose sexuelle tout comme votre complicité en matière de sexualité.
Les nouvelles expériences partagées ensemble sont toujours un moyen de renforcer le couple.
Le respect de l’autre, le dialogue, la confiance, l’écoute et le temps sont autant de facteurs fondamentaux dans votre démarche de convaincre votre partenaire de se faire sodomiser.
Plus ces facteurs seront respectés, plus vous mettrez les chances de votre coté pour la convaincre d’essayer le sexe anal.
La sodomie, particulièrement les premières fois, requière une certaine technique à la fois physique et psychologique dans son déroulement.
N’oubliez pas que l’acte en lui même n’est que le prolongement du « travail » de préparation que vous aurez établit dans la phase précédente avec le dialogue et l’écoute.
En ce sens, les préliminaires sont une phase essentielles de préparation à la sodomie. Pour se faire de multiples techniques existes, dont nous allons vous révéler les secrets.
Un massage sensuel de chaque partie du corps est l’idéal pour détendre votre partenaire et l’amener doucement au sexe anal.
Dans un second temps, vous pouvez vous attarder sur ses fesses en les pétrissant lentement. Les huiles de massage qui font office de lubrifiant seront votre partenaire idéal pour cette phase.
Pensez à choisir un modèle comestible si vous désirez pratiquer l’anulingus.
L’anulingus consiste en la stimulation de l’anus avec la langue et la bouche. Il convient évidemment que votre partenaire procède à un lavement pour éviter des mauvaises surprises, le respect va aussi dans un sens comme dans l’autre ! 🙂
Aussi, une pénétration lente et progressive avec le doigt peut également participer à cette phase de préliminaire à la sodomie. Il est alors essentiel que votre partenaire puisse appréhender en douceur une présence inhabituelle.
L’idéal est de lubrifier le doigt qui se chargera du massage et du début de la penetration anale de façon plus importante.
Allez-y avec douceur, en pratiquant au préalable puis pendant un massage général de la zone (fesses, reins, bassin, clitoris…) avec vos mains et ou avec votre langue. Cette démarche permettra à votre partenaire de ne pas se focaliser sur cette présence inhabituelle.
Le massage de la zone du périnée, avec le clitoris, peut être une excellente manière de préparer votre partenaire à se faire sodomiser.
Egalement, au delà de vos doigts, l’utilisation de jouets sexuels, sextoys ou plug anal peuvent être intéressants. Il en existe pour tous les goûts, de toutes les tailles, des plus classiques au plus fantaisistes !
N’hésitez pas à faire participer votre partenaire au choix du jouet pour la mettre en confiance. Pensez également à lubrifier le sextoy avant le début de la pénétration anale.
Mettez un peu de jeu dans cette phase, essayer de détendre un maximum votre partenaire, tester ensemble ce qui vous plait ou au contraire vous déplait. La réussite de la sodomie n’en sera que plus maximiser.
Notre phase précédente a un but simple : préparer votre partenaire à la sodomie. Pour être sur que votre partenaire est prête, il faut vous assurez de son accord, vérifier ensuite que son anus est suffisamment dilaté et lubrifié.
Une fois ces élements acquis, vous pouvez commencer à la sodomiser doucement, en ayant à l’esprit cela peut etre une phase très délicate pour la personne qui reçoit la sodomie.
Si vous êtes utilisateur des patchs Sexoboost , soyez encore plus prudent car votre sexe aura une taille que votre partenaire n’a pas l’habitude de sentir
N’hésitez pas a ajouter du lubrifiant si besoin et soyez à l’écoute de votre partenaire, de son ressenti. Vous devez comprendre que vous devez être prêt à vous retirer à tout moment si votre partenaire vous le demande.
Il est utile alors de ne pas transformer cet insuccès en défaite, en arrêtant l’acte sexuel. Le risque est que toute tentative futur de sexe anal soit marquée le souvenir de votre frustration , et qu’il n’y ait donc plus de tentative possible.
Si la tentative échoue, continuez l’acte sexuel en trouvant du plaisir d’une autre façon, comme vous le faisiez d’habitude. Débriefez après votre acte les éléments qui ont engendrés l’échec, avec éventuellement des pistes pour les dépasser dans l’optique de renouveler l’expérience du sexe anal.
Egalement, si vous découvrez quelques indélicatesses au niveau de votre plug ou de votre sexe, n’en faites pas état et allez prendre une douche, la remarque pourrait profondément gêner votre partenaire.